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DINAMIC, l’association du Conseil supérieur du notariat et de la Chambre des notaires de Paris,a publié une étude sur l’incidence de l’étiquette énergétique sur la valeur du bien à la vente.

Un logement dont l’étiquette énergétique est « A-B  » selon le DPE  a de grandes chances de se vendre plus cher qu’un logement similaire mais étiqueté « G ».

« D », l’étiquette énergétique moyenne en FRANCE :

Cette lettre D équivaut à une performance moyenne (151 à 230 Kwh  par m² et par an).

c’est la note la plus répandue en France (près de 35% des maisons vendues en France entre 2010 et 2012).

Ils ont ensuite déterminé des surcotes ou des décotes, qui varient en fonction de l’état du bien mis en vente, de la typologie des logements mis en vente sur un territoire (les biens rares se vendent plus chers) et des tensions entre l’offre et la demande de logements.

Plus un marché est détendu (les vendeurs sont plus nombreux que les acheteurs), plus le DPE impacte le prix de vente.

Lorsque les acheteurs se trouvent face à un large choix de logement, ils ont tendance à opter pour une habitation neuve ou économe en énergie, ce qui dévalorise les biens « énergivores ».

Entre 15% et 18% de surcote pour un logement étiqueté « A-B » :

Le document indique qu’une habitation dotée d’une étiquette « A-B » a 95% de chances de se vendre entre 15% et 18% plus cher qu’un logement étiqueté « D ». La surcote sera de 9% pour un logement étiqueté « C ». Par contre, un « E » entrainera une décote de 5% à 9%, et un « F », une dévalorisation de 10% à 15%. Enfin, la note« G » se traduira par une décote de 11% à 25%.