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Les chaudières à condensation selon GRDF

La chaudière à condensation gaz naturel présente aujourd’hui le meilleur rapport efficacité/prix sur le marché. Elle restitue sous forme de chaleur plus de 100 % de l’énergie consommée (jusqu’à 110 % de rendement sur PCI*). Cette solution assure le chauffage et l’eau chaude sanitaire pour un coût d’utilisation très réduit.

Murale ou installée au sol, la chaudière à condensation est disponible pour tous types de besoins et de puissances.

  • En construction neuve, la chaudière à condensation facilite l’atteinte des plus hauts labels de performance énergétique tel que le niveau BBC (Bâtiment Basse Consommation). Preuve en est, la majorité des bâtiments BBC réalisés ou en projet fait aujourd’hui appel à cette solution (2/3 des logements individuels : source OBSERVATOIRE BBC Novembre 2010).
  • Elle convient également très bien pour les projets de rénovation. En remplacement d’une chaudière d’ancienne génération, elle donne lieu à des économies d’énergie allant jusqu’à 40 % (source ADEME) et réduit fortement les émissions de gaz à effet de serre.

De plus, le client bénéficie de 13 % de crédit d’impôt sur le prix de l’équipement pour son installation dans un logement achevé depuis plus de 2 ans. La chaudière condensation est par ailleurs incluse dans les « bouquets de travaux » donnant droit à la souscription de l’« éco-PTZ » (éco-prêt à taux zéro).

Comment ça marche ?

  • Le gaz naturel mélangé à de l’air est brûlé dans la chambre de combustion.
  • La chaleur produite est transférée au circuit d’eau qui part alimenter les émetteurs du bâtiment : radiateurs ou plancher chauffant.
  • Mise en contact (via un échangeur) avec le « retour » plus froid du circuit de chauffage, la vapeur d’eau contenue dans les produits de combustion va se condenser, lui cédant sa chaleur de condensation.
  • En synthèse, on récupère, d’une part la chaleur sensible des produits de combustion et d’autre part, la chaleur de condensation : cela explique l’excellent rendement des chaudières condensation.

Plus le retour d’eau de chauffage est à basse température, plus la condensation des produits de combustion sera complète et l’énergie récupérée importante. On privilégiera donc une installation avec des radiateurs « chaleur douce » ou des planchers chauffant basse température.

*Rappel : Le rendement thermique est toujours représenté par la chaleur utile sortie de la chaudière rapportée à la chaleur utilisable qui lui a été fournie. Ce rendement peut être par rapport au PCI (Pouvoir Calorifique Inférieur) ou par rapport au PCS (Pouvoir Calorifique Supérieur). Pour le gaz naturel, on obtient : rendement PCS=0,9 x rendement PCI.

(Communiqué de GRDF . http://www.grdf.fr/ )

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